Page réalisée par Christiane suite à la proposition paroissiale du Père Guy Ollagnier
de visiter les richesses de proximité.
Dans les merveilles du Pilat, nous vous recommandons le site de la Chartreuse de Saint Croix en Jarez avec
une visite guidée incontournable. Vous découvrirez l'histoire de cette chartreuse de Saint Croix fondée par
Béatrix de Roussillon en 1280 alors qu'elle était veuve de Guillaume de Roussillon, seigneur de Riverie mort
en croisade en 1277...
Vous découvrirez le site exceptionnel avec des bâtiments imposants, avec les deux cours, celle des pères et celle
des frères, l'immense corridor qui relie les deux, un hermitage nouvellement restauré, et dont le cœur de l'église
primitive les fresques murales datées début XIVème représentant entre autre la crucifixion de Jésus...
La chapelle romane de Jurieux
L’atout de Jurieux est son antique chapelle romane bâ tie au début du 13ème siècle dans laquelle les Pères Chartreux de Sainte-Croix, tout proche, célébraient l’office religieux. La chapelle a un clocher carré et un petit porche en bois précède l’entrée.
A remarquer à l’intérieur les très belles statues en bois de différents saints.
La chartreuse de Sainte Croix en Jarez :
un lieu étonnant pour un beau dimanche d’été
Un destin hors du commun! Après 500 ans de vie conventuelle, le monastère a connu à la Révolution une nouvelle destinée.
Le Site de la Chartreuse vous accueille à nouveau à partir du samedi 13 juin.
Nous avons mis tout en place pour vous accueillir dans les meilleures conditions.
Veuillez noter que le port du masque est obligatoire.
Du 2 juillet au 31 août
Le point information est ouvert tous les jours de 10h30 à 12h30 et de 14h à 18h.
Visite guidée à 11h et 15h.
Horaires susceptibles d’être modifiés.
Coordonnées
Découverte de l’unique monastère chartreux devenu un village à la Révolution.
Visite limitée à 9 personnes.
Samedi 12 septembre 2020 de 10h à 12h30. Sainte-Croix-en-JarezVenez vous ressourcer lors d’une sortie de 5 km sur les sentiers jadis empruntés par les moines de Sainte-Croix, jusqu’à leurs lieux de vie au cœur du monastère.
Chapelle Saint-Sabin
La chapelle Saint-Sabin est un édifice religieux situé sur la commune de Véranne, elle-même située dans le parc naturel régional du Pilat, dans le département de la Loire1. Elle est par ailleurs non loin du pic des Trois Dents, à 1 120 mètres d’altitude2.
Historique
Une première chapelle aurait été bâtie à l’emplacement d’un édifice païen vers le ive siècle ; une nouvelle chapelle est édifiée entre le xiiie siècle et le xive siècle, faisant partie à ce moment « du fief de La Prat situé entre la Chapelle et Véranne, possessions de la famille de la Barge »3 ; la chapelle actuelle date du xviie siècle, de même que les statues de saint Sabin et de sainte Sabine qu’elle abrite3.
Elle est bâtie face au levant, en direction de la vallée du Rhône et de la chaîne de montagne des Alpes4.
Aujourd’hui encore, un pèlerinage y a lieu chaque lundi de Pentecôte, un office religieux s’y déroule en plein air et rend hommage à saint Sabin, protecteur des animaux2.
Quelques courageux se rendent encore de nos jours de LARAJASSE à ST SABIN à pieds chaque année le lundi de Pentecôte sur les traces de leurs parents et grands-parents.
La maison de l’Hermitage à la Valla-en-Gier
L’Hermitage est le grand reliquaire de Marcellin Champagnat, fondateur d’une famille religieuse vouée à la Vierge Marie. Les Frères Maristes comptent actuellement, environ 3000 membres à l’œuvre auprès des jeunes de quelque 80 pays du monde
Une bonne partie de l’année, cette maison héberge des groupes de Frères et de laïcs Maristes qui viennent passer des journées ou une semaine pour mieux connaître les lieux de leurs origines : Marlhes, l’Hermitage, La Valla, Fourvière, etc.
Lorsqu’il arrive à l’Hermitage en sortant de la vallée étroite du Gier, le pèlerin est impressionné par cette grande bâtisse d’où se dégage à gauche la chapelle contenant les reliques de Marcellin Champagnat et à droite au-delà du Gier , la porte d’entrée
Sentier Champagnat pour les bons randonneurs.
Le sentier Champagnat commence devant le monument pour aller jusqu’à la maison natale de Marcelin, à Marlhes. C’est le sentier numéro 10 du Parc du Pilat, d’une longueur d’environ 31 km. Il rappelle Champagnat, infatigable marcheur. Si l’on envisage de le parcourir, suivre les marques de couleurs marron-blanc.
Il passe à La Valla en Gier où Marcellin a réuni les premiers Frères, puis au Bessat. Puisse-t-il être le symbole fort du départ vers une vie plus totalement tournée vers Dieu, dans le sillage de Marcelin.
Chapelle. de Le Rosey à MARLHES
Cette chapelle du Rosey fut inaugurée en 1958 en l’honneur de Marcellin Champagnat, fondateur des Frères Maristes. Elle est l’œuvre de l’architecte Moreau qui utilisa le granit du pays et la compétence des maçons de Marlhes. M. Longeon de St-Étienne est le sculpteur de la statue qui est au-dessus du porche. La cloche qui sonne “l’angelus” porte l’inscription: “Marie 1958”.
La bénédiction de l’édifice fut donnée par Mgr Dupuy, évêque auxiliaire de Lyon, en présence du chanoine Brunon, devenu évêque de Tulle.
Marcellin Champagnat est né dans la ferme attenante. Sa chambre et la chapelle peuvent se visiter tous les jours.
Chambre. de Marcelino Champagnat
Voici la chambre qu’occupait Marcellin quand il était séminariste et voici aussi le local pour le catéchisme. Ce dernier servait aussi pour la fabrication du pain. Ce four chauffait la chambre du dessus durant l’hiver.
Dans un inventaire, réalisé en 1804, à la mort du père de Marcellin, il est indiqué qu’il y avait un pétrin en bois de sapin qui parait être celui que l’on voit maintenant. Il y avait une armoire dont on disait qu’elle avait été fabriquée par Marcellin Champagnat.
Dans ce lieu, Marcellin séminariste réunissait les enfants et aussi les adultes de la paroisse pour leur expliquer le catéchisme à l’époque de vacances.
Un des enfants à qui M. Champagnat enseignait le catéchisme sentit l’appel de la vocation missionnaire quand le fervent séminariste leur expliqua qu’aux antipodes il y avait d’autres enfants qui ne connaissaient pas Dieu.
Cet enfant devint Mgr Epalle, évêque mariste missionnaire en Océanie qui mourut martyr aux iles Salomon.
http://www.maristes-ndh.org/fr/page/marlhes